Ces deux tableaux de Courbet se prêtent parfaitement à l’évocation de la pièce de Soljenitsyne : « Le chêne et le veau ».
C’est la Compagnie Frontale, avec Hervé Mariton, acteur, et Grégoire Lopoukhine metteur en scène, qui se sont chargés de nous faire découvrir cette œuvre.
Le lendemain, le discours de Harward de Soljenitsyne (écrit aux États Unis) nous a permis de nous souvenir que Courbet et l’écrivain russe ont tous les deux connu l’exil, Courbet, n’étant jamais revenu sur sa terre natale.
Deux représentations d’une grande qualité qui nous incitent à réétudier en profondeur les œuvres de Gustave Courbet et Soljenitsyne.